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 Les dragons

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gleoihfre

gleoihfre


Messages : 34
Date d'inscription : 31/08/2010

Fiche de personnage
Niveau: 31
Serveur: otomaï
Classe: Iop

Les dragons  Empty
MessageSujet: Les dragons    Les dragons  I_icon_minitimeSam 11 Déc - 10:17

Les dragons sont à l'origine du Monde des Douzes. L'histoire débute avec les trois Dragons Divins, fils d'Osamodas : Hélioboros le Dragon du Feu Blanc, Ouronigride le Dragon du Feu Noir et Spiritia surnommé "le Chatoyant", le Dragon Multicolore. Les dragons blanc et noir, usant de leurs pouvoirs, réussirent à former une masse d'énergie ; Spiritia par l'action d'Osamodas, ajoutera son energie pour terminer la création du Monde de Douzes.


Helioboros

Les dragons  Helioboros

Spiritia

Les dragons  Spiritia


De cette puissance, dix autres Dragons naquîrent, d'abord trois Dragons Blancs guidés par l'énergie de Hélioboros :

•Dardondakal le Sage, le dragon qui engendrera le Dofus Ivoire et qui sera éliminé par Hyrkul.
•Croulaklakoss.
•Gresgaoulian.

Puis trois Dragons Noirs attisés par le pouvoir de Ouronigride :

•Grougalorasalar le Fuligineux, dragon qui mettra au monde le Dofus Ebène ainsi que le légendaire Crocoburio.
•Gargoylone.
•Celui dont on tait le nom, qui réalisera un pacte avec Djaul pour prendre le contrôle d'un jeune guerrier du nom de Lukryh pour devenir Hyrkul le Tendancieux.

Et enfin, l'énergie de Spiritia formera les quatre Dragons Élémentaires :

•Aerafal le Dragon de l'Air, qui engendrera le Dofus Emeraude.
•Aguabrial le Dragon de l'Eau, qui créera le Dofus Turquoise apres avoir été piégé par Djaul, mais le plan de ce dernier sera découvert et il naîtra du Dofus le dragon nommé Bolgrot.
•Ignemikal le Dragon du Feu, qui sera à l'origine du Dofus Pourpre.
•Terrakourial le Dragon de la Terre, qui accouchera du Dofus Ocre.


la création du dofus turquoise et la naissance de Bolgrot

Djaul entamait le parcours du monde. Guidé par Rushu, il cherchait à s'emparer des Dofus. C'est avec l'aide de son maître qu'il trouva l'antre d'Aguabrial, le dragon de l'eau. Djaul créa une ondine, qui avait pour but de séduire le dragon. Elle le charma instantanément et l'amour du dragon permit la création d'un Dofus Turquoise. L'ondine demanda au dragon, follement amoureux, de donner le plus de pouvoir possible à son Dofus.
Les dragons  Img_aguabrial
Un jour, Ereziah, un ami d'Aguabrial, vint lui rendre visite. Il découvrit l'ondine que le dragon chérissait tant et sentant que quelque chose n'allait pas, réussit à la piéger. Djaul, qui surveillait de loin sa création, comprit alors qu'il était découvert et s'enfuit. Le dragon, fou de rage, acheva la créature, et alors qu'il allait détruire le Dofus, celui-ci se mit à éclore. Bolgrot était né.


Bolgrot ou la légende de Rykke Errel
Les dragons  Bolgrot_(server)
Des années plus tard, le simple nom de Bolgrot faisait apparaître la peur sur le visage des villageois d'Amakna. Personne n'osait engager de combat contre ce dragon qui semait le chaos sur le continent. Un jour, un jeune Iop répondant au nom de Rykke Errel prit le courage d'aller défier l'animal. Contre toute attente, le fils d'Aguabrial se prosterna devant le guerrier et lui jura fidélité. Avec le temps, les deux compères devinrent inséparables.

Les mois passèrent, Helséphine fit son apparition. Cette jeune Iop fit battre le coeur du guerrier, et Rykke voulut présenter sa dulcinée à son ami. Qui aurait pu prévoir ce qui allait se passer ? Le dragon, devenu fou, tua la douce Helséphine et s'envola au loin en ravageant tout sur son passage. Rykke se lança à sa poursuite. Lorsqu'il le retrouva, les deux amis s'affrontèrent dans un combat titanesque. Grâce à ses armes et sa magie, Rykke terrassa le dragon. Mais mortellement blessé, le héros succomba peu après l'affrontement.

Lorsque les sages du monde apprirent la nouvelle, et afin de comprendre pourquoi le dragon était si dévastateur, ils partirent autopsier sa dépouille : dans son corps se trouvaient six Dofus. Ayant conscience du pouvoir des oeufs, ils décidèrent de les cacher aux yeux du monde. Les Dofus finirent par être oubliés, jusqu'au jour maudit où les sages découvrirent que les oeufs du dragon avaient disparu. Peu à peu, la rumeur se répandit, les plus âgés racontaient l'histoire de Rykke, les aventuriers affluaient, tous cherchaient où pouvaient bien se trouver les Dofus ainsi volés.

crocoburio , le fils du dragon

Les dragons  1006290146061030246317793

voir la légende de crocoburio


Grozilla et Grasmera , les dragoeufs

Les dragons  Grozillaetgrasmera


Grozilla, Grasmera… Ces deux noms font frémir les Iop les plus hardis. Tous aujourd’hui connaissent au moins le nom de ces créatures de légende, et tremblent à l’idée de les rencontrer un jour. Pourtant, qui connait véritablement leur histoire ?

Une dragonne volatile

Les dragons  Crocabulia

Au cœur du premier âge, alors que l’Horloge de Xélor n’avait pas même été rêvée, que les dates n’existaient pas, les puissants dragons étaient les spectateurs privilégiés de l’éveil du Monde. Puissants, ils l’étaient, pour sûr, mais tous n’étaient pas égaux en pouvoirs. De fait, en dépit de leur incommensurable sagesse, les dragons étaient sujets aux rivalités, et à l’ambition.

Plus que nul autre, une célèbre dragonne se consumait ainsi d’ambition. Elle ne rêvait que de sa future consécration, du jour où Osamodas l’accepterait comme un dragon de premier ordre. Pour cela, elle était prête à tous les efforts, à tous les sacrifices… Mais rien n’y faisait, elle ne parvenait pas à s’attirer les grâces du Dieu. Cette dragonne est aujourd’hui connue sous le nom de Crocabulia.

Ces échecs n’étaient toutefois pas sans raisons… La dragonne avait en effet un grave handicap, pour qui prétend accéder à un tel rang dans l’échelle de mérite draconique. Elle était incapable de se refuser à un dragon, pour peu qu’il eut un minimum de grandiose, ce qui n’était pas bien dur pour ces créatures.

Quand Crocabulia se laissa prendre par les apparats séducteurs de Gragoularasalar et donna naissance à leur fils, Crocoburio, Osamodas détourna le regard et lui accorda une dernière chance de prouver sa valeur.

Peut-être aurait-elle connu plus de réussite par après si elle n’avait pas succombé au vice une seconde fois. Toujours est-il que, malheureusement, elle a une nouvelle fois fait preuve de faiblesse. Croulaklakoss, grand dragon blanc et rival de Gragoularasalar devant l’Eternel, séduit à son tour Crocabulia puis s’en détourne pour vaquer à des occupations plus grandioses.

Crocabulia, bafouée, sentait le regard sévère d’Osamodas et implora son pardon. Le Dieu, exaspéré par cette dragonne aussi insistante que volatile, concéda finalement à lui proposer un marché.

« Une nouvelle race éclot en ce moment-même, souffla le dieu à la dragonne, mais elle est encore fragile et vulnérable. Il leur faut un protecteur, un gardien pour leur sanctuaire. Charge-toi de leur protection pour les temps à venir, prouve- moi ta valeur en remplissant cette mission, et tu pourras prétendre faire partie de l’élite draconique, devenir l’égale de Spiritia et de ses frères. »

Ces mots ont été rapportés de générations en générations, puis de sages en sages, d’aventuriers en aventuriers. Nul ne sait s’ils ont été ainsi prononcés un jour, ni même si des mots approchants on véritablement été dit. Qui aurait pu comprendre le parler dragon, d’ailleurs ? Mais l’histoire, elle, est réelle.

Sans y réfléchir plus d’un instant, Crocabulia accepta, trop soulagée qu’Osamodas lui propose ce rôle inespéré.

Prudent dans sa confiance, le Dieu préféra tout de même s’assurer que la dragonne resterait concentrée sur sa mission pour les très longs temps qui viendraient. Ainsi, il retira les deux rejetons de Crocabulia à leur mère dès leur naissance et les plongea dans un profond au sommeil, enfermés dans une salle cachée sous le Sanctuaire que devrait protéger Crocabulia. Ils ne pourraient se réveiller que bien plus tard, lorsque la mission de la dragonne serait terminée et que la race naissante des Dragoeufs serait arrivée à maturité.

Crocabulia eut tout de même le temps de donner un nom à ses enfants avant d’en être privée : Grozilla et Grasmera.

***

Des hommes trop vaniteux

La suite de leur histoire se déroule bien plus tard, sans que cela soit toutefois assez proche pour être daté.

Au sud de la florissante Amakna, sur une presqu’île jadis paisible, le bastion de la civilisation humaine se trouvait au cœur d’un charmant petit village. Les érudits et les livres lui donnèrent bien plus tard le nom de « Village Primordial ».

En ce temps, tous les hommes étaient férus de science, de magie et de découvertes à la fois. Ils portaient un amour inconditionnel à la connaissance, et vivaient cet amour avec respect. L’historo-dofuso-érudit Panglauce écrivit d’ailleurs à propos de cette époque que « tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes ».

Tout commença à aller plus mal que mieux lorsque, par le plus fortuit des hasards, un habitant découvrit l’entrée d’une caverne jusque là inconnue juste au nord ouest de leur village. Comment avaient-ils pu ne pas la remarquer plus tôt ? Ils étaient trop impatients de l’explorer pour se poser ce genre de questions.

Une première expédition fut lancée au cœur de la grotte, et ils ne tardèrent pas à tomber nez à nez avec des créatures aussi impressionnantes qu’inconnues. Les hommes avaient découvert l’existence des Dragoeufs. Le temps passa et les expéditions se succédèrent, au cours desquelles les hommes étudiaient cette nouvelle race avec curiosité et respect.

Le contact prolongé avec cette race si proche des dragons fit malheureusement naître de bien sombres idées dans les esprits de quelques savants de moins en moins scrupuleux. Progressivement, un horrible projet se mit en branle : créer un élevage de Dragoeufs et pratiquer des expériences sur eux pour créer de toutes pièces un nouveau Dofus.

Doux en apparence, ne brutalisant jamais les créatures, ces hommes réussirent à tromper la méfiance des Dragoeufs et la vigilance de leur protectrice. Pendant des années et des années, ces expériences perdurèrent, toujours infructueuses. Jusqu’au jour où…

Par un malheureux tour du sort, une Dragueuse pondit un œuf écarlate, plus solide que les autres. Rapidement, les hommes réalisèrent qu’il ne s’agissait pas d’un œuf commun, et qu’il recelait d’une puissance rare. Ils s’en emparèrent et rejoignirent le village primordial avec leur trophée.

Pour la première fois, les Dragoeufs devinrent agressifs, ne supportant pas qu’on leur vole cet œuf unique. Ils se rebellèrent et s’attaquèrent aux hommes. Paniqués, et pas guerriers pour deux kamas, ceux-ci prirent la fuite et condamnèrent l’entrée du Sanctuaire. Dans l’espoir de camoufler à jamais leur vol et de se protéger de la vengeance des Dragoeufs, ils construisirent même un temple juste au dessus.

***

Deux réveils, une vengeance

Des mois durant, leur crime resta impuni. Mais Osamodas, qui était occupé ailleurs, finit par entendre parler de ce qu’il s’était passé. Révolté, le Dieu entra dans une rage folle et en conclut que les hommes devaient être punis.

Osamodas se rendit au cœur du Sanctuaire des Dragoeufs dans la salle que lui seul connaissait et y retrouva Grozilla et Grasmera, toujours endormis, mais devenus bien grands. Il les réveilla et les libéra de leur prison.

Les deux frères, informés de la situation par le Dieu, gagnèrent les étages supérieurs du Sanctuaire pour y retrouver les Dragoeufs enfermés. Sans attendre, d’un commun accord avec leurs cousins, Grozilla et Grasmera forcèrent la sortie du Sanctuaire, transperçant le sol du temple Kanojedo construit au dessus.

Les deux Dragons et les Dragoeufs sortirent donc pour la tout première fois hors de la caverne et découvrirent la lumière du jour. Ils n’eurent cependant pas le temps de s’extasier : ils avaient des hommes à écraser et un œuf à retrouver.

Le massacre fut sans commune mesure. Le village primordial fut littéralement anéanti, et les quelques seuls survivants durent prendre la fuite vers le Nord d’Amakna.

Une fois la bataille terminée et les derniers hommes chassés, Crocabulia sortit de son antre pour la première fois depuis des éons. La dragonne rejoignit ses fils au milieu des restes du village, où ils l’attendaient avec l’œuf écarlate. Elle le prit dans ses griffes et, sans s’attarder, regagna le Sanctuaire. Depuis, elle le protège férocement, tapie au fond de son donjon.

Les quelques survivants du village primordial marchèrent donc vers le Nord, jusqu’aux limites de la Montagne des Craqueleurs. Là, ils fondèrent un nouveau village, qui prospérera bien plus longtemps que le premier.

Une partie des Dragoeufs, ayant pris goût à la lumière du jour, élit domicile sur la presqu’île qui porte désormais leur nom. La race des Dragoeufs s’est alors divisée en deux branches restées très proches, ceux de la surface et ceux qui continuèrent à vivre dans le Sanctuaire.

Grozilla et Grasmera, eux, sont redescendus dans les tréfonds du Sanctuaire, là où nul Dragoeufs ni quoi que soit d’autre n’ose se rendre. On n’en a ensuite plus entendu parler pendant très, très, très longtemps.

Terrakourial et le dofus ocre

Les dragons  Dofusocrecopienw8

Parmi les dix dragons issus des dragons primordiaux, Terrakourial est l'un des plus mystérieux. La créature aux écailles d'émeraude se dissimulait dans une forêt dense où la végétation était si luxuriante que les rayons du soleil ne parvenaient pas à atteindre le sol. La faune et la flore s'y développaient suivant divers étages. Perdue au milieu de cette forêt primaire, vierge de tout contact avec la civilisation humaine, la demeure du dragon n'était connue de personne. Terrakourial ne se déplaçait que rarement. Durant le jour, il restait à l'abri des regards, dans l'ombre des grands arbres. La nuit tombée, il lui arrivait de flâner sous la lumière de la lune naissante pour glisser sur les cimes des arbres tel un serpent sur l'eau.

Lorsque Sadida envoya ses poupées afin de séduire les dragons et provoquer la naissance de Dofus, Terrakourial fut lui aussi sous le charme. Il découvrit la maisonnette des dieux au milieu d'un parterre d'orchidées, dans la canopée. Il fut aussitôt captivé par le reflet qu'elle lui renvoyait. En réalité, il tomba amoureux de lui même de lui même, de son image projetée dans la frêle silhouette de la figurine sadidadesque. Narcissique, comme ses semblables, Terrakourial chérit la poupée au point que son amour donna naissance à une couvée de Dofus Ocres.

Terrakourial devint alors plus éxubérant. Il se mit à parcourir les vates étendues de la forêt de jour comme de nuit, provoquant sur son passage de multiples floraisons spontanées. Sa magie et son bonheur se reflétaient ainsi dans la nature qui n'avait jamais été aussi luxuriante. Il s'éloignait de plus en plus de sa demeure, heureux de faire partager sa joie. Les déplacements se faisaient plus longs et il était d'autant plus enthousiaste de retrouver sa compagnie inanimée et ses œufs lorsqu'il rentrait enfin chez lui. Au cours d'une de ses sorties, un vent malin souffla sur le nid où résidaient la poupée et les Dofus. La tempête emporta la petite marionnette et les œufs glissèrent d'étages en étages jusqu'au sol. Ils furent entrainés au plus profond des abîmes, au fond d'une tourbière. Loin de se douter de ces événements tragiques, Terrakourial ne revint dans sa demeure que quelques semaines après en être parti. Ne trouvant plus son amour ni les fruits de leur union, il fut totalement abattu. Certains l'auraient vu partir à la recherche de sa couvée dans une tourbière. Mais personne ne l'a jamais revu depuis lors.
Le dragon ayant disparu, la forêt vierge se transforma totalement. Elle dépérit rapidement et les arbres autrefois si grands et si majestueux ne furent plus que des troncs tordus par le vent et noircis par les incendies. Une grande partie de la forêt fut ensuite emportée sous l'eau, recouverte par l'océan qui rongea en partie l'ancien territoire du dragon. De cette zone, il ne reste qu'une île perdue, loin du continent amaknéen. Seule une plante gigantesque subsiste : L'Arbre Hakam. On raconte qu'il abritait autrefois le nid du dragon.

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